Le rapport aux savoirs

bigbangJe pense que l’intégration des TIC dans nos modules de formation aide les apprenants à comprendre la relative fragilité des savoirs.
En effet, un savoir est une représentation négociée d’un concept. Dans une vision connectiviste, son appropriation est efficace à un moment donné et, on l’espère, pertinent dans d’autres circonstances. En tant que formateur, notre rôle ne devient-il pas plus un accompagnement permettant à chaque apprenant d’organiser son espace personnel de « stockage-apprentissage » de ses découvertes ou expériences liées aux savoirs, comprenant des outils de curation numériques intégrant un perpétuel sentiment de doute au sujet de chacune d’elle ?
Pour mieux cibler notre fonction de pédagotice, je trouve la grille de réflexion de Claude Frenette très claire. J’aime donc et, voici son lien : http://prezi.com/wf0rlcjjjadw/grille-de-reflexion-v13/

Un commentaire sur “Le rapport aux savoirs

  1. A coté de l’organisation des savoirs, la question du rapport au savoir est important. Nous reviendrons durant l’année sur ce sujet en se demandant si savoir et savoir trouver la réponse se combinent ou s’annulent.

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